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Guide parental

Brendan et le secret de Kells

Résumé

Au IXe siècle, en Irlande. Brendan, 12 ans, est un apprenti moine élevé par son oncle, le sévère abbé Cellach, au sein de l’abbaye de Kells. Ce vaste établissement abrite de nombreux copistes et enlumineurs. Brendan, qui rêve de suivre leurs traces, dessine en cachette. Quand frère Aidan d’Iona, le plus fameux de enlumineurs, vient se réfugier à Kells, il remarque les talents de Brendan et en fait son apprenti, à l’insu de son oncle.

Guide parental :

Ce film nous plonge au cœur de la culture celte du moyen âge et explore le pouvoir du dessin dans sa dimension symbolique et magique. Ce point de vue original nécessite un peu de maturité pour suivre un récit à plusieurs niveaux. Cette œuvre hors des sentiers battus pourra susciter de belles discussions en famille pour comprendre les frontières entre fantastique et réalité, qui se mélangent, comme les couleurs sur la palette.

Brendan et le Secret de Kells, pour quel âge ?
Ce film convient à partir de 9 ans. Il pourra être vu dès 8 ans, selon l’appréciation des parents.

À signaler :
– Violence : Plusieurs scènes d’invasion traitées de façon graphique, où des vikings brûlent des villages et déciment de nombreuses personnes.
– Autres : Des loups, des monstres et des vikings sèment la terreur tout au long du film. Un personnage est poursuivi par un monstre, un serpent et une anguille. Flash-back et ellipses peuvent rendre le récit complexe.

Activités en lien avec le film

La presse en parle :

TELERAMA : (…) le récit alerte, tour à tour cocasse et émouvant, ne cesse de surprendre, d’éblouir. Une vraie révélation.
LA CROIX : Si sa trame emprunte beaucoup au conte initiatique classique, Brendan et le secret de Kells s’impose comme un film singulier, dont l’audace et la maîtrise formelle consacrent la naissance d’un auteur-réalisateur de talent (…).
LE MONDE : Cette iconographie luxuriante transforme un récit d’apprentissage des plus classiques en une épopée fabuleuse (…) On regrettera que le scénario ne trouve pas toujours son rythme, mais qu’importe : l’univers visuel est d’une telle splendeur qu’il maintient son spectateur dans un état de rêve éveillé, du début à la fin.

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