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Guide parental

Beetlejuice

Résumé

Adam et Barbara Maitland sont un jeune couple très amoureux et qui adorent leur maison. Malheureusement, suite à leur décès, ils doivent la hanter 125 ans. Ce qui risque d’être long surtout lorsque la famille Deetz, mélange de stupidité et de snobisme, emménage « chez eux » ! Ils veulent à tout prix les chasser. Après avoir tenté, en vain, de faire fuir les intrus, ils font appel à Beetlejuice, un fantôme, qui fait tout ce qui est en son pouvoir pour effrayer les bourgeois…

Guide parental :

Ce film culte aux effets spéciaux volontairement kitsch, qui rend hommage au cinéma de genre des années 50, explore l’univers du film d’horreur dans une approche comique. Une ado gothique (Winona Ryder) avec des dons parapsychiques de communication avec le monde des défunts, donne tout son intérêt au film qui reste une curiosité au musée des films d’épouvante.

Beetlejuice, pour quel âge ?
Malgré ses intentions comiques et kitsch, le récit est conçu à l’attention des ados et des adultes. Si le film peut convenir pour des amateurs de frissons à partir de 11 ans, la présence d’un adulte pourrait être utile, car certaines scènes sont assez effrayantes.

À signaler :
– Langage : Quelques grossièretés.
– Alcool/Drogue : Plusieurs personnages fument des cigarettes.
– Violence : Un personnage fait usage de violence avec ses pouvoirs surnaturels sur d’autres personnes.
– Sexe/Nudité : La devanture d’une maison close avec des femmes qui racolent. Un personnage obscène a des gestes déplacés et un comportement pervers , il harcèle une jeune femme.
– Autres : Divers monstres, pendus, décapités, serpents…

Activités en lien avec le film

La presse en parle :

CRITIKAT.COM : Subversif, intelligemment conçu, tout en demeurant un sommet de baroque délirant, Beetlejuice est donc une œuvre à ranger aux côtés des plus subtils des films de Burton.
TÉLÉCÂBLE SAT : Le très inventif Tim Burton mêle burlesque, onirisme et fantaisie débridée dans ce conte fantastique plein de drôlerie et d’humour noir.
ABUS DE CINÉ : Un chef-d’œuvre qualifié de « feed-good movie » sur la mort’ par le scénariste Michael McDowell et de « version burlesque de L’Exorciste » par Burton lui-même.
TELERAMA : Epouvante, burlesque et grotesque se mêlent en un carnaval étonnant. La composition de Michael Keaton en démon lubrique est irrésistible, et la scène légendaire où les convives d’un dîner sont possédés par la Banana Boat Song, de Harry Belafonte, est un moment d’anthologie.

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